Rapport de Mission février 2006

Publié le par gilles

Composée de, Monique Barraud, Evelyne Castéra, Philippe Boyer, Carine Boyer, Jean Marc TERRISSE, Yvette Picaut (Arrivée à Mopti le 06 février 2006 - Retour le 12 février)

Nathalie Valeille et Joel Picaut, (Arrivée à Mopti le 06 février 2006 - Retour le 19 février)


Première semaine

Les puits

12 puits sont en construction cette saison 2005/2006 ce qui portera le nombre de puits creusés à 70.

Visite de 14 villages dans la partie sud de notre zone d’action et notamment 3 des 5 villages dans lesquels la CDC finance un puits
* Photos du puits, du village et de ses habitants
* Suivi de l’avancement des travaux, mesure de la profondeur atteinte
* Positionnement GPS du puits, repérage des autres puits ou forages du village

* SONO (village dans lequel le Rotary Club des Jacobins) a financé 1 puit
Très beau puits séparé de l’école par un terrain sur lequel le directeur prévoit de planter des arbres et de les faire arroser par les enfants. Il a déjà planté et protégé un papayer.

* Goudiadourou
Pompe à pied Vergnet installée par la mission catholique de Barapiréli en 2001. Le piston est hors service depuis 6 mois. Le village devrait se cotiser pour acheter la pièce de rechange (150 000 CFA =200 €) ce qui ne semble pas à l’ordre du jour.
Le village nous a sollicité pour payer cette pièce. Nous leur avons proposé plutôt de se cotiser d’abord puis de venir nous voir pour compléter éventuellement. A voir si ils le feront ou attendront plutôt une âme charitable. Il peut être intéressant que les prochaines missions insistent sur la qualité de l’eau de la pompe et l’absurdité de laisser une telle eau inutilisée. Sans pour autant payer la réparation !

* Atem
Même constat, même attente que la solution tombe du ciel toubab. La pompe est arrêtée depuis 1 an.

* Banani
Puits au pied de la dune principalement destiné aux peuhls et à leur bétail. Pas de muret de propreté qui les gêne quand c’est un animal qui tire la corde. Erosion du pied de l’aire de propreté à conforter et à surveiller.

Puits de Bongo, Ireli Dama, et Wadiouba non terminés car ils sont dans la roche.
Amani puits pratiquement à sec à sur creuser dès que possible.

Cette année, les puits ont été commencés entre le 12 et le 16 décembre 2005. Le 10 février ils étaient entre 22 et 23 m de profondeur.
Les couvercles en tôle ne seront installés que pour des puits à l’intérieur du village sinon ils ne seront jamais fermés et donc inutiles.
Deux murets à l’entrée de l’aire de propreté forment maintenant une chicane qui retient les animaux à l’extérieur.
Nous avons remarquer que lorsque l’outre est extraite par un animal la corde sort de l’aire de propreté et se salit donc sur le sol.

Il faudrait dès que possible positionner les puits du nord de notre secteur (communes de Madougou et Diankabou)
Toulouse va acheter un GPS et le donner à Alain pour pouvoir positionner plus de points (villages, micro crédits, puits, ..) durant l’année.

Le barrage de Jacques Bye
Nous longuement discuté avec Gérard Lapsolu, de Bilou Togouna qui s’occupe des barrages avec Marc .En conclusion, après avoir fait sauté un beau rocher à la dynamite, le projet est faisable. La seule inconnue est la profondeur de terre à creuser pour atteindre le rocher et assurer ainsi l’étanchéité par un voile béton armé. 3 M CFA ont déjà été portés il en manquerait 2 M CFA de plus.

Les micro crédits
18 micro crédits sont créés ou en cours de création.
Toulouse en a financé 1 en 2004 et 2 autres en 2005 (dont un par le Rotary Club des Jacobins).
Bereli :    20 avril 2004
Bara pireli :    1 mai 2005
Doma Da :    15 mai 2005
VIA SAHEL met en place 1 nouveau micro crédit tous les 40 jours, même pendant l’hivernage.
Il devrait y en avoir 30 en fonctionnement d’ici la fin de l’année.


Les arbres
* Visite de BERELI qui nous avait sollicité pour une parcelle forestière
Nous avons pris  le temps de discuter avec le chef du village et visiter sa parcelle. (W3°14’,685 N14°15'958) où il souhaite faire un verger (manguier, citronnier, goyavier,…)
Il y a eu une tentative de puits qui ne donnait pas et qui est rebouché maintenant. L’association Joliba a financé une haie vive de jujubier (qui fait 3 m de haut maintenant) et des protections en treillis aujourd’hui au sol.
Il souhaite que nous financions un puits cimenté. Nous leur avons proposé d’abord de creuser un puits traditionnel et de commencer à arroser avec ce puits. Si ils mettent les protections en épine nous paierons les arbres. Si ils arrosent et si le verger prend forme nous ferons alors boucher le puits et nous le buserons en ciment ( ce qui a déjà été fait à Madougou). C’est une façon de s’assurer que le projet est bien viable et de ne pas investir un puits sur un projet foireux. Par contre si c’est sérieux ils savent qu’on sera là pour les aider. A suivre.
* A Goudiadourou nous n’avons pas pu rencontrer le grand Solimane pour faire un point sur le projet d’école, et parler arbres
* Rencontre très intéressante avec le directeur de l’école de SONO qui a un projet arbre avec les élèves. Toulouse va payer 100 arbres dès que les épines de protection seront en place. Il devrait les planter en mai juin avant les pluies.
* Rencontre avec les enseignants de Tanoa qui nous sollicitent aussi pour payer des arbres arrosés par les élèves. Toulouse va payer 100 arbres dès que les épines de protection seront en place. Il devrait les planter en mai juin avant les pluies.
* Nous n’avons pas pu visiter Sorou et les autres villages ou les arbres avaient été donnés, pour payer les arroseurs comme prévu avec eux. Nuos aétions passé la première année (2004) mais pas en 2005 ni en  2006.C’est une erreur. Il faudra y remédier dès que possible payer et clore le dossier.
* Nous avons continué sur quelques points l’enquête commencée par Fabien Pitard sur les arbres.
* Alain a commencé à planter et protéger des arbres ( environ 15) autour de la mare près du Castor. Il compte continuer régulièrement le long de la piste qui s’en éloigne vers le nord. Toulouse financera ces arbres sur les fonds déjà sur place.
* Rencontre passionnante et riche en perspectives avec Alleye Karembé le volontaire dogon du PNUD à Sangha, agronome de son état, expérimenté dans l’animation (DGZ et PNUD), qu’avaient déjà vu Fabien Pitard et Latifa. Il est originaire d’un village du plateau à une heure de moto de Bandiagara, déforesté par la production de charbon. Il est président d’une association qui a mis en place une pépinière et souhaite faire des campagnes de sensibilisation. Il a une adrese Email consultable à Bandiagara ce qui peut faciliter notablement nos relations hors mission.
 Il nous propose une palette de thèmes à aborder dans ses missions de sensibilisation :
-Intérêt et fabrication de foyers améliorés (économe en bois)
-Intérêt du balanzan dans les champs de mil comme fertilisant par fixation de l’azote dans le sol. Prévoir 10 arbres par hectares.
-Intérêt de la culture et de la consommation du haricot notamment pour les femmes en ceinte et les très jeunes enfants sous-nourris (apport protéinique).
-Sida et autres MST.
Le seul problème est le coût. Il demande 6000CFA par jour et par personne. Quand ils viennent à 2, avec une formatrice, ça ferait 36 000 CFA pour trois jours sur un seul village. Ce sont des budgets du PNUD mais pas de VIA SAHEL. Il faudrait donc trouver une voie médiane qui le dédommage mais qui reste dans nos cordes. Je pensais éventuellement à le prendre, seul, avec nous lors de nos déplacements en plaine.
Un premier essai devrait être fait dans les prochains jours avec la construction d’un foyer amélioré chez Alain.
A suivre.

L’alphabétisation
Visite de la première salle d’alphabétisation de VIA SAHEL à Bereli qui fonctionne depuis un mois. (33 femmes sont inscrites).









 


























Les cours sont donnés sous un abri en paille (hangar) à l’intérieur d’une concession. Des « tables » maçonnées y ont été aménagées.
Une deuxième classe sera mise en place dans les prochains jours.
Ces deux essais feront l’objet d’un suivi et d’une évaluation qui définiront les évolutions éventuelles à donner.

Les moustiquaires

Lors de la brève rencontre que nous avons eue avec Bertrand et Alain à Sévaré, nous avons évoqué la lutte contre le paludisme par la diffusion de moustiquaires.
Les hôpitaux maliens offrent déjà une moustiquaire à chaque visite prénatale, lors de l’accouchement et lors de la visite de première année.
Les femmes des villages visités par Alain et Bertrand semblent prêtes à payer jusqu’à 1 000 CFA( 1,5€) pour une moustiquaire.
Alain doit en acheter une centaine à Bamako avec leur pastille de répulsif. Toulouse s’est porté volontaire pour financer cette opération. Un premier don spécifique à cette action de 1500€ a d’ailleurs été accordé à notre retour par les laboratoires ROCHE grâce au Rotary Club des Jacobins

Divers

* Nous avons remis à Alain une cinquantaine de kg de médicaments qui suivaient généralement la liste fournie en décembre
Merci encore à tous nos amis donateurs

* Rencontre à plusieurs reprises avec Manou et Gérard Lapsolu de Bilou Togouna.
* Visite de l’Hôpital des femmes atteintes de fistule et achat de colliers pour la vente. (+ quelques bogolans pour la maison)
* Nous n’avons pas pu visiter l’accueil des enfants des rues ( ce sera pour la prochaine fois)
* Rencontre avec  la direction régionale de l’hydraulique reportée a la prochaine mission


Deuxième Semaine
Compte-rendu de la 2ème partie de la mission de février 2006
(12 au 19 février)
Nathalie Valeille et Joël Picaut

Projet d’alphabétisation par Bilou Toguna (Manou Lapsolu)
Lieu : Kamba sur le plateau à 15 km de Sangha
Manou Lapsolu est accompagnée par Boubacar Poudiougou du PNUD et de Nathalie et Joël.
Ce village d’environ 500 habitants a déjà bénéficié de l’aide de Bilou Toguna (barrage, puits, réserve de céréale). L’accueil vraiment chaleureux de la population et des notables est à la hauteur des excellents rapports avec Bilou Toguna (et de la réputation de Via Sahel pour Nathalie et Joël !).
      Réunion avec le chef du village, les notables et une cinquantaine de personnes intéressées. L’enthousiasme de ce village pour ce projet d’alphabétisation est indéniable : 50 à 55 femmes seraient intéressées… et au dire du chef du village presque autant d’hommes ( !). Cela assure de pouvoir faire au moins un groupe d’une vingtaine de personnes (femmes).
      Les cours ne seraient pas possibles de mai à septembre. Tranche d’horaire proposée : 20h à 22h d’octobre à avril. Visite d’un local trop petit tout près du centre du village que le chef de village propose d’agrandir. Au pire les cours pourraient débuter à l’extérieur (sorte de patio).
Visite du PNUD à Sangha
    Depuis 2002 une équipe du PNUD (http://www.undp.org/french/ ) a été installée à Sangha. Elle se compose de 9 volontaires contractuels (contrats au début de 1 à 2 ans, prolongés sur la base de 3 à 6 mois). Elle se compose de :
- 2 ingénieurs agronomes
- 3 techniciens agronomes
- 1 ingénieur en électronique
- 1 professeur d’anglais
- 1 technicien radio (FM Sangha)
- 1 technicien de la poste et de la télécommunication
    Rencontre et discussions avec Allaye Karembé (technicien agronome ?) et plus succinctement avec le professeur d’anglais et un ingénieur agronome.
      Malgré des promesses de financements pour fonctionnement, le PNUD fournit essentiellement les salaires. Les taches de cette équipe semblent se restreindre à servir d’intermédiaire entre les autorités locales (sans moyen financier elles aussi) et les quelques ONG travaillant au Pays Dogon. Sept des membres étant Dogons, cette équipe semble servir avec efficacité et intérêt ce rôle de coordination.
      Le prochain renouvellement des contrats en mars ou avril 2006 se fait attendre. Il est question d’envoyer plusieurs membres de cette équipe en plaine ce qui visiblement n’enthousiasme personne. Un des membres de l’équipe vient juste de démissionner et les appels de financement d’Allaye Karembé à Jean-Marc Terrisse ne semblent pas neutres. Son enthousiasme et sa compétence en agroforesterie, notés lors des discussions de la semaine précédente, sont cependant indéniables.
Suivi d’une séance d’alphabétisation à Béréli
    Depuis le 15 janvier, tous les jours (sauf le jeudi, jour de marché) de 11h à 14h (sans interruption), une vingtaine de femmes suivent les cours d’alphabétisation. Ce cours est assuré avec brio et humour par le formateur Amadou Léguino. Il nous a assuré que le taux de présence est excellent (17 présentes ce jour). Malgré le règlement, on a noté la présence de deux bébés.
    L’âge des femmes est estimé entre 17 et 50 ans et l’habillement, dans l’ensemble magnifique, montre quelques différences de revenus. Compte tenu de leurs prestances et du coût de la formation, ces femmes doivent appartenir à la classe « aisée » de Béréli.
    Cours de calcul (addition, soustraction et multiplication). Quelques difficultés pour certaines pour écrire les chiffres, mais très peu d’erreurs de calcul (le formateur commente abondamment).
    Cours d’écriture et de lecture. L’écriture en Dogon est composée de 27 lettres et de nombreuses consonnes. Quelques femmes ont du mal à écrire des mots composés, mais une ambiance excellente et le soutien de l’ensemble du groupe modèrent ces difficultés.
    Le cours se termine par un devoir (écriture des alphabets Dogon et Français, de quelques mots et d’une série d’opérations) que les femmes font sur place et que le formateur corrige, note et commente au fur et à mesure. Les temps de retour des copies (5 à 20 min) montre une inégalité dans l’apprentissage (à moins que certaines aient été vaguement scolarisées dans leur jeunesse).
    Si on considère que la majorité de ces femmes est partie de zéro, en un mois de cours les progrès en calcul, lecture et écriture sont surprenants. Cela semble être dû à leur forte motivation, à la bonne ambiance, à l’entente du groupe et au talent du formateur.

Visite au Sous-Préfet pour l’opération mil à Madougou
   
Alain Vallet est accompagné de l’aide pharmacien de Via Sahel à Madougou, Radio, Nourhoum, Nathalie et Joël. Le Sous-Préfet nous a reçu dans son bureau en présence de Mme le Maire de Madougou.
    Hormis 5 sacs de mil de 100kg, 60 tonnes de mil ont déjà été livrées. Alain propose d’ouvrir plusieurs magasins de vente dès le mois de mars. Chaque sac de 100 kg acheté 14500 CFA, va être revendu le plus rapidement possible avec un supplément de 100 CFA. Via Sahel rajoutera 200 CFA par sac pour payer les frais de manutention et les salaires des membres du comité de gestion et de surveillance.
    Adroitement, Alain propose l’aide pharmacien et un membre de sa connaissance à Madougou, pour assumer les rôles de trésorier et de magasinier-gardien, laissant le libre choix du président au Sous-Préfet et au Maire. Il suggère de commencer, dès maintenant la vente du mil pour en racheter le plus rapidement possible et maintenir la hausse (inévitable) du sac de mil à un taux raisonnable (le but de cette opération mil), et ce jusqu’à la nouvelle récolte en septembre.
    Alain propose de vendre uniquement par sac de 100 kg (à charge pour la population de se regrouper pour l’achat). Le crédit ne peut être accepté sous peine de mettre en cause ce principe de vente et rachat. Alain reste ferme sur le fait que les magasins doivent être à la charge de la commune de Madougou.
    Le Sous-Préfet de Madougou confirme que l’Etat Malien n’a pas les moyens de mettre en place une telle banque de céréales, et encore moins la commune de Madougou. L’an dernier, les pluies se sont arrêtées trop tôt. Sur 29 villages, 24 ont eu une mauvaise récolte, avec des pertes allant jusqu’à 80 %. Sur les 15 dernières années, il n’y a eu que 4 ou 5 bonnes récoltes. À cela il faut rajouter l’accroissement de la population… Le Sous-Préfet félicite Via Sahel, pour toutes ses actions dans la région et tout particulièrement pour la mise en place de cette banque de céréales. Il assure que des magasins seront fournis par la commune (ce que confirme le Maire). Alain insiste pour que ces magasins soient construits spécifiquement car cette opération mil devrait être malheureusement pérenne.
    La réunion s’achève avec l’annonce que Thérèse Faye, présidente de Via Sahel, viendra vers le 26 février pour signer le protocole d’accord avec le Sous-Préfet et le Maire.
    Pour l’ensemble de l’opération mil (60 tonnes en dépot à Sangha, Madougou et Wadouba), Alain a rassemblé, grâce à la réponse rapide des antennes de Via Sahel, 11 millions CFA sur un coût total de 45 millions. Tout le reste est basé sur la confiance que son fournisseur de mil a en Alain. Il serait plus confortable s’il pouvait disposer d’un peu plus de la moitié de la somme globale. Si le prix augmente trop rapidement, Alain (et Via Sahel) vont se trouver dans une position inconfortable. Le déficit chronique en céréales a peu de chance de se résorber. Il faudra que Via Sahel considère cette opération mil comme pérenne, avec l’augmentation du fond initial… et l’impossibilité de récupérer ces fonds pour d’autres actions sur un moyen terme.

Repérage de puits
Autour des trajets Sangha-Béréli-Madougou, les puits suivants ont été visités et positionnés :
Tassogo (2003)        14° 23,921’N
# 57    294 m            3° 13, 279’W

Inteminoukou (2003)        14° 23,135’N
# 1    285m            3° 13,090’W

Tagana (1999)            14° 21,692’N
# 2    289 m            3° 13,095’W

Bassogou (2000 ?)        14° 21,274’N
# 10    303 m            3° 14,511’W

Madinékou (2004)        14° 19,313’N
# 53    289 m            3° 15,322’W

Baborou (2002)        14° 21,583’N
# 14    308 m            3° 17,934’W

Nantoulaye Amani (2003)    14° 20,355’N
# 17    304 m            3° 16,584’W

Kassangadogou (en cours)    14° 23,884’N    creusé 24 m le 16/02/06 (début : 3/01/06)
# 62    293 m            2° 58,301’W

Kegue (en cours)        14° 27,171’N
# 65    283 m            3° 01,115’W    creusé 17 m le 16/02/06 (début : 17/01/06)

Conditions climatiques pendant ce séjour :
    Comme la semaine précédente, les premiers jours de la semaine ont été marqués par un temps relativement chaud et sec (température sous abris de 35° l’après midi à 24° au lever du soleil, pour une humidité relative allant de 15% à 25%. Peu ou pas de vent dans la journée, avec apparition de vent thermique dans la nuit.
    Une tempête de sable a commencé le jeudi matin 16 février pour s’intensifier dans l’après-midi et continuer le vendredi. Les vents sont passés de secteur NE à N, et cela a entraîné une chute notable de température et une augmentation de l’humidité relative (à 7h du matin 19° et 50%). Une pluie très fine a été notée le matin de bonne heure par Alain. Les trois derniers jours de séjour sont restés agréablement frais.


Publié dans via-sahel-toulouse

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